, Pour ces deux commentateurs, p.142, 1498.

, Pour Landino : ibid., 142v. Pour Mancinelli : ibid, p.141

. Voir-lebègue and F. Horace-en, 153, et surtout les mises en lignes réalisées par l'équipe de Nathalie Dauvois, 1936.

P. Glaréan, , p.103, 1562.

P. Muret, , pp.317-318, 1582.

. Scaliger, , pp.47-48, 1561.

. Lambin, , pp.407-408, 1561.

. Turnèbe, , p.223, 1580.

D. Estienne and . De-hac-sua-editione-horatii, , pp.26-28, 1575.

L. Iii, Maistre Denis Lambin

, Les symboles sont les mêmes, à l'exception de M2

O. Ronsard, Contre Denise sorcière, vol.II, p.46

. C'est-À-dire-«-pierre-de-ronsard, , vol.41

, Les arithmologues seraient peut-être tentés de compléter ces remarques en étudiant la numérotation des trois odes, comme on le fit souvent pour les Épodes d'Horace. Ils feraient alors observer que III, vol.8

, Soit le nombre des syllabes dans la division épodique initiale de l'ode « Contre Denise sorcière » : 9 + 9 + 6 = 24. II, 26 peut évoquer le thème du renversement, car 2 X 26 = 52, 52 inversé fait 25 ; or, 25 est justement le nombre des syllabes dans la division épodique initiale de la palinodie et de l'épipalinodie : 9 + 9 + 7 = 8 + 8 + 9 = 25. Mais le poète songea-t-il à ces « symboles Pythagoricques » ? La démonstration serait plus convaincante si « Contre Denise sorcière » était l'ode II, vol.22, pp.3-8

, Et par ailleurs, la numérotation de ces odes change après 1550, ce qui ne semble pas indiquer que Ronsard attachât à la chose une grande importance

, Division épodique initiale : les vers 1 à 3 de « Contre Denise sorcière », envisagés comme point de départ de l'amplification métrique à laquelle se livre Ronsard. Épodie : sous-genre de l'ode, dont les rythmes sont adaptés de l'épode horatienne, lorsqu'elle fait suivre un vers long d'un vers court. Membre : vers ou ensemble des vers représentant une longueur donnée dans une division de base, et une seule. Dans la strophe citée de « Contre Denise sorcière, distinguer une division regroupant les seuls proodes et clausules de la palinépodie

, Dans la strophe de l'Épipalinodie, mesurée d'après les règles de la versification ronsardienne, il y a quatre membres : le premier composé des vers 1 et 2, le second du vers 3, le troisième des vers 4 et 5, le quatrième du vers 6

. L'épipalinodie, Palinépodie : sous-genre de l'ode, inspiré par l'épode horatienne, mais dont les rythmes alternés inversent ceux de cette épode, telle que définie à l'entrée « épodie ». La palinépodie commence en effet par un vers court. L'Épipalinodie, mesurée d'après les règles de la versification ronsardienne, est une palinépodie. Pièce initiale : l'ode « Contre Denise sorcière ». Proode : dans une épode, une épodie ou une palinépodie, vers appartenant aux membres impairs

, Épipalinodie mesurée d'après la versification de Ronsard, ils coïncident avec la clausule. Mais dans l'Épipalinodie mesurée d'après la versification moderne, on ne saurait employer sans inexactitude ce terme de clausule, puisque le poème est isométrique : c'est pourquoi je parle de vers de troisième rang, Analyse structurale : Composition dissymétrique : lecture impliquant qu'on associe deux poèmes, vol.12

, Une lecture qui associe deux poèmes (la Palinodie et l'Épipalinodie, par exemple), en les dissociant d'un poème situé à leur gauche (« Contre Denise sorcière »), est une composition dissymétrique vers la droite. Inconstant : la différence n'étant pas la même de 90 à 90 que de 90 à 60, la série 90 ? 90 ? 60 marque une diminution numérique inconstante. Système : rapport existant entre deux compositions, Droite et gauche : positions relatives des poèmes, envisagés d'après leur ordre d'apparition dans le recueil

T. Bibliographie-des and . Cités,

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