P. Métamorphoses and . Maréchaux,

, de son propre festin 48 », mettant en scène sa propre abolition matérielle pour s'accorder, en poésie, la vie éternelle 49 ; une image aussi, peut-être, du lecteur des Métamorphoses, qui 46 Ibid, pp.739-767

. Ibid, , pp.875-878

. Énigmes, . Paris, . Gallimard, and . Le-promeneur, , p.186, 2000.

X. V. Métamorphoses, quae nil nisi corporis huius / ius habet, incerti spatium mihi finiat aeui ; / parte tamen meliore mei super alta perennis / astra ferar nomenque erit indelebile nostrum ; / quaque patet domitis Romana potentia terris, / ore legar populi perque omnia saecula fama, / siquid habent ueri uatum praesagia, uiuam. (« Et maintenant, j'ai achevé une oeuvre que ni la colère de Jupiter, ni le feu, ni le fer, ni le temps vorace ne pourront détruire. Quand il le voudra, que ce jour qui n'a de droits que sur mon corps mette un terme à la durée incertaine de ma vie. Dans la meilleure partie de moi-même, cependant, je serai transporté, immortel, très haut au-dessus des astres, et mon nom sera impérissable. Partout où s'étend, sur les terres domptées, la puissance romaine, je serai lu par la voix du peuple, et à travers tous les siècles, Iamque opus exegi quod nec Iouis ira nec ignis / nec poterit ferrum nec edax abolere uetustas. / Cum uolet, illa dies, pp.871-879

, Hélène Vial

, Ce développement sur les enfants tués et/ou dévorés par leurs parents et sur leurs équivalents symboliques, tels Narcisse ou Érysichthon, s'inspire des analyses présentées dans mon article « Intus habes quem poscis : l'infanticide dans les Métamorphoses d'Ovide », S. Dubel et A. Montandon (dir.), Mythes sacrificiels et Ragoûts d'enfants, Presses Universitaires Blaise Pascal, « Mythographies et sociétés, pp.139-153, 2012.

T. Établi, J. Traduit-par, and . André, , p.2003, 1963.