O. P. Voir-michel-labourdette, L. Foi-;-voir-bruno-neveu, and ». Les-péripéties-de-la-foi-ecclésiastique, Il fait sienne la doctrine de Billot tant que cela l'arrange. Quand l'illustre théologien écrit que Dieu « ne peut permettre que l'Église entière admette un pontife qui ne soit pas vrai et légitime » (p. 45), ce qui vient à réduire à néant la thèse sédévacantiste, l'A. ajoute : « Que dirait ce bon cardinal aujourd'hui ? » Toujours au sujet de l'universalité de l'Église, l'A. fait de la théologie-fiction pour asséner que Billot « n'eût certainement pas admis qu'on s'appuyât sur sa doctrine pour défendre les papes conciliaires » (p. 172), alors que ce dernier écrit expressément Ecclesiae adhaesio omne vitium electionis radicitus sanat, voyant dans l'adhésion de l'Église à la personne du pape une sanatio in radice constituant « une marque infaillible de sa légitimité, Sedes Sapientiae, vol.78, p.171, 2001.

, sur les délais en matière d'appel ou sur la périodicité des synodes provinciaux comme infaillibles ? 25. Il renvoie ici au cardinal Billot, Tractatus De Ecclesia Christi (I, q. 14, thesis 31, § 1, 2), qui dit pourtant explicitement que la formule d'approbation n'est qu'un des critères propres aux locutions ex cathedra, Doit-on considérer que les prescriptions de Latran III et Latran IV sur la couleur des habits des ecclésiastiques, p.127

«. Araujo and . En, Quand il s'agit de prendre parti contre la distinction entre foi ecclésiastique et foi divine et catholique, il opte pour les dominicains Marín-Sola et Guérard des Lauriers, « malgré l'autorité du cardinal Billot, vol.147, p.137, 2019.

M. De-même,-selon and . Hecquard, ce qui suffit à l'écarter. La conclusion de l'A. est aussi simple que simpliste : il a raison, seul contre tous. « Les diverses théories avancées pour défendre [la] légitimité [des "occupants du Siège de Pierre depuis Vatican II"] ne sont pas conformes à la saine théologie. Elles sont fausses. Parce qu'ils contredisent le dogme catholique, les pontifes conciliaires n'ont donc aucune autorité dans l'Église. Telle est la conclusion légitime de ceux que l'on nomme, Au regard des quelques éléments appréciés ici, p.249