. Paris and . Théâtre-de-la-république, 6 juillet 1791 ; Caius Gracchus, tragédie en 3 actes, Paris, théâtre de la République, 9 février 1792 ; Le Camp de Grand-Pré, ou le triomphe de la République, divertissement lyrique en 1 acte, Paris, Académie de musique, 27 janvier 1793, musique de François-Joseph Gossec, chorégraphie de Pierre-Gabriel Gardel ; Fénelon, ou les Religieuses de Cambrai, tragédie en 5 actes, 1794.

B. Michel and «. La, bataille des rois de papier sur la scène théâtrale parisienne (1789-1790), Figures de l'histoire de France dans le théâtre au tournant des Lumières, pp.1760-1830, 2007.

W. Charles, I. Charles, and T. French, Revolution : law, vengeance and the revolutionary uses of history, European Review of History, vol.4, issue.2, pp.127-145, 1997.

B. Albin, B. Jean-françois, . Mémoires-de-bailly, . Paris, and . Baudouin, 282 : « Je pensais que dans un moment où le peuple s'était soulevé tout entier, non pas contre le roi, mais contre l'autorité arbitraire, il n'était pas prudent d'exposer sur la scène un des plus effroyables abus de cette autorité, de faire voir un prince ordonnant le massacre de son peuple, et tuant ses sujets de ses propres mains. Je pensais encore que, près de prononcer sur le sort du clergé, il fallait le faire tranquillement et avec équité, et ne pas exposer sur la scène un cardinal bénissant des poignards et encourageant des assassins, pour aigrir des ressentiments, et mettre la haine à la place de la justice [?]. La réponse à faire aux comédiens était difficile, pp.1821-1822

. Bnf, Lb 39 2240. Marie-Joseph CHENIER, Dénonciation des inquisiteurs de la pensée, p.1789