R. Daniel, Journal de ma vie de Jacques-Louis Ménétra, compagnon vitrier au XVIII e siècle, pp.317-318, 1982.

B. René and L. Lettres-de-miette-tailhand-romme, Aubière, s.e, Lettre, vol.25, pp.1787-1797, 1979.

B. André and . Le, théâtre à Clermont-Ferrand aux XVII e et XVIII e siècles », Revue d'histoire du théâtre, treizième année, tome II, 1961-1962

B. René and «. , Deux lettres d'un volontaire riomois à sa mère », Revue d'Auvergne, pp.249-254, 1985.

B. Philippe and . Le, instituteurs, 5 prairial an VI (24 mai 1797) : « Vous etes particulièrement par l'essence de vos fonctions apelés à seconder les vues du gouvernement dont tous les eforts tendent à faire oublier jusqu'aux dernières traces du régime royal, nobiliaire et sacerdotal « Les théâtres de société sont-ils solubles dans la Révolution ? L'exemple de l'Auvergne », in Les théâtres de société au XVIII e siècle, op. cit., pp. 157-168 ; id., « Drama societies in the French Revolution : from jacobin enthusiats to royalist amateurs, 31 Archives du Tarn, L 202, f° 41. Lettre du commissaire du pouvoir exécutif près l'administration centrale du département aux citoyens Cavaillier et Saussol La scène bâtarde entre Lumières et Romantisme, op. cit. La Société dramatique de Besançon et le personnel révolutionnaire bisontin de 1793 à 1796 Théâtre et Révolution, n° spécial des Annales littéraires de l Archives départementales de Vendée pour Fontenay-le-Comte (L 1364 Archives départementales du Tarn pour Albi (L 740, pp.241-254, 1989.

D. Capitaine, M. Campagnes, . Mes-souvenirs, L. Paris, and . Livre-chez-vous, En 1801, à Bologne, les militaires français fondent un théâtre de société, sur lequel l'auteur versifie, non sans plaider l'indulgence des futurs spectateurs (« La lyre et le mousquet ont trop peu de rapport/ Pour que la même main les accorde d'abord ») : « Thalie et Melpomène excitent nos désirs / Et leurs jeux variés rempliront nos loisirs, Nous pouvons réunir l'utile et l'agréable, pp.190-191, 2008.

L. Étourdis-de-françois and . Andrieux, comédie en 3 actes, 1787 ; Les Intrigans ou Assaut de fourberies, de Dumaniant, comédie en 3 actes, 1787 ; Guerre ouverte, ou Ruse contre ruse, de Dumaniant, comédie en 3 actes, p.1787, 1786.

L. Directoire-ne-donne-cependant-pas-un-coup, V. , and L. Châtre, une société dramatique forte d'un orchestre, qui se réunit dans l'ancien couvent des Carmes, autrefois dévolu au club jacobin, le père de George Sand met en scène Robert, chef des brigands, de La Martelière 49 . À Angers, en l'an VII, le Lycée dramatique joue encore Brutus, et y invite l'administration municipale 50 . À Liège, le jeune officier Bial partage avec le fils de son logeur, Coppeneur, un goût prononcé pour la musique, qui les pousse à composer un opéra autour du sujet d'Appelle et Campaspe (une esclave d'Alexandre-le-Grand dont le peintre tombe amoureux, au grand dam de l'empereur, qui finit par accepter cette passion eu égard au talent de l'artiste qui lui a fait un portrait admirable) ? le peintre Jacques-Louis David, entre autres, s'était saisi du thème. Les deux compères se complètent malgré leurs faiblesses, et proposent sans barguigner leur ouvrage au Grand Théâtre, qui le refuse, puis le font accepter par les professionnels et amateurs du Théâtre d'Émulation, financé par la ville et dirigé par un Français originaire de Tulle, avec au bout de l'aventure un fiasco retentissant 51 . À Riom, les usages du livre prouvent que les anciens amateurs de l'an II fortifient leur goût par de très sérieuses lectures : quatorze de ses anciens et anciennes comparses de la Comédie bourgeoise viennent puiser régulièrement dans la bibliothèque de Jean-Baptiste Tailhand, et parmi leurs choix l'on note les Idées sur le geste et l'action théâtrale

L. Brive, Mes deux collaborateurs étaient pleins de confiance et ne doutaient pas du succès J'objectais bien qu'il n'y avait pas d'ensemble, qu'il y aurait eu des retouches à faire. Rien n'y fit, il fallut, hélas, subir les feux de la rampe. L'ouverture produisit assez bon effet, mais dès les premières scènes ce fut autre chose. Les choeurs étaient détestables, les récitatifs médiocres, point d'unité dans l'action, discordance totale, enfin manque d'intérêt. Au premier acte, il y avait une scène assez jolie dans l'atelier d'Apelle, Alexandre vient admirer les oeuvres du Maître et surprend Apelle aux pieds de son amie. Cela fut si mal rendu que le public commença à murmurer. Je pris le parti de me retirer et j'appris sans étonnement le fiasco de notre pièce, pp.126-127, 1926.

B. Philippe and «. La-postérité-de-la-bibliothèque-romme, le prêt privé dans les milieux « néo-jacobins » provinciaux, Réseaux et sociabilité littéraires en Révolution, pp.143-190, 2006.